8. Agression d'une adolescente de 13 ans

Citation :

Agression d'une adolescente de 13 ans: consternation à St-Urbain!

Revenons maintenant sur cette sordide histoire d’un adolescent de 14 ans accusé de tentative de meurtre sur sa copine de 13 ans. L’affaire suscite l’indignation dans Charlevoix. À Saint-Urbain, les résidants comprennent mal ce qui pousser le jeune homme à agir ainsi.

L’agression d’une adolescente de 13 ans était au cœur de toutes les conversations dans le petit village de Saint-Urbain. «Aujourd’hui, les jeunes se prennent pour des adultes. Ça pas de sens» lance un résidant.

«C’est incroyable. Ça fait mal au cœur. Ces enfants passaient devant chez moi 3 à 4 fois par jour» déclare un autre résidant.

Dimanche dernier, l’adolescent aurait entraîné sa présumée victime sur un terrain vague. Il l’aurait ensuite battu violemment. Les deux jeunes fréquentent la Polyvalente Saint-Aubin de Baie-Saint-Paul. Même si les événements se sont produits à l’extérieur de l’école, la Commission scolaire de Charlevoix apportera du support psychologique aux élèves qui en ont besoin.

Ce type d’agression est peu fréquent chez les jeunes. Selon cette psychologue, les relations amoureuses des adolescents ressemblent de plus en plus à celles des adultes. «À cet âge, ils n’ont malheureusement pas la maturité nécessaire pour vivre des relations amoureuses saines» explique Chantal Pothier.

Pour éviter les mauvaises surprises, elle recommande aux parents de guider leurs enfants. «Il faut mettre nos limites comme parents. Il faut transmettre nos valeurs. Il ne faut pas hésiter à montrer le bon chemin à nos enfants» conclut Mme Pothier.

L’adolescent demeure incarcéré dans un centre jeunesse de Québec. Il comparaîtra de nouveau jeudi à La Malbaie devant le tribunal de la jeunesse.

Un texte de François Fournier

Bon...Je suis de retour...je me suis permi quelques jours de repos d'éditoriaux. J'espère que vous ne serez pas trop en fusil à cause de celà, malgré que vous devez l'être après avoir lu le texte.

Maudit FOU. J'en conclu que c'est surement la fille qui a flushé le gars. Qu'est-ce qui lui a prit? Voyons. Vouloir tuer quelqu'un à cause que cette dernière la laissé.

Il a comparu jeudi devant le tribunal de la jeunesse du côté de La Malbaie. Je ne connais pas le verdict, mais j'espère qu'il sera enfermé dans un centre de la jeunesse. Il ne mérite que celà...c'est un meutrier.

Combien de temps, sera-t-il dans un centre de la jeunesse?...1 an ou 2 gros max. Je sais que ce n'est pas assez, mais nos juges, ils ne veulent pas faire de mal à personne. Après celà, il va pouvoir retourner voir sa victime et vouloir retourner avec elle. S'il aurait été majeur, sa peine aurait probablement été environ la même (les juges sont gentil(le) cependant il n'aurait pas pu sortir pour aller à l'école, voir ses parents, sa victime, etc. En prison, il se ferait brassé (très bonne affaire) et il aurait eu tout ce qu'il voulait (sauf sortir des murs de la prison).

Malgré que Charlevoix est une très belle région, il se passe quand même des choses. Je sais ou l'école est situé, mais je ne sais pas combien il y a d'élèves à cette école. Cependant, lorsqu'un crime arrive dans un petit milieu (même dans un grand) nous entendons toujours dire: ''l'école apportera du support psychologique aux élèves qui en ont besoin.''...ce qui me fait toujours sourire. Qu'est-que ça peut changer???...RIEN. Si les parents font leur travail, les enfants n'ont pas besoin de ce service qui est un gaspillage d'argent.

À demain.

Qui est Mme Pothier? Est-ce qu'elle sait des choses sur le couple en question que nous ne savons pas? Les a-t-elle eu en thérapie? Y'en a marre des psy qui font de la psychologie de salon par l'entremise de journalistes.

Carl Fiset a écrit:

Qui est Mme Pothier? Est-ce qu'elle sait des choses sur le couple en question que nous ne savons pas? Les a-t-elle eu en thérapie? Y'en a marre des psy qui font de la psychologie de salon par l'entremise de journalistes.

Si elle les a eu en thérapie, ne devrait-elle pas d'évoiler des informations sur eux?

Je vais essayer d'avoir plus d'infos sur cet événement...

Carl, tu as déjà été psychologue, donc est-ce que tu peux me dire si lorsque vous avez des clients, vous devez ne jamais dévoiler d'infos qu'ils vous ont donné? Est-ce que l'aide aux autres jeunes de l'école sert à quelque chose, ou si c'est les parents qui devrait s'occuper de celà?

Admin a écrit:

Carl Fiset a écrit:

Qui est Mme Pothier? Est-ce qu'elle sait des choses sur le couple en question que nous ne savons pas? Les a-t-elle eu en thérapie? Y'en a marre des psy qui font de la psychologie de salon par l'entremise de journalistes.

Si elle les a eu en thérapie, ne devrait-elle pas d'évoiler des informations sur eux?

Je vais essayer d'avoir plus d'infos sur cet événement...

Carl, tu as déjà été psychologue, donc est-ce que tu peux me dire si lorsque vous avez des clients, vous devez ne jamais dévoiler d'infos qu'ils vous ont donné? Est-ce que l'aide aux autres jeunes de l'école sert à quelque chose, ou si c'est les parents qui devrait s'occuper de celà?

Sans autorisation des clients concernés (sauf en tant que témoin expert en cour), tu ne peux divulguer quoi que ce soit qui s'est passé en thérapie. Donc, si tu sais des choses comme psychologue et que tu ne peux pas les divulguer, tu ne peux pas faire comprendre aux téléspectateurs, auditeurs ou lecteurs, ce qui se passe réélement dans la tête d'un violeur ou tueur à moins d'y aller de généralités. C'est plus du cas par cas souvent. Si t'es pas au courant du cas discuté, tu peux juste expliquer des paterns de comportements au mieux mais ça nous aide plus ou moins à comprendre le cas précis. Y'a pas de recette ou d'explication magique.

L'idée dans les CLSC d'avoir un programme d'intervention en temps de crise, c'est bien intentionné à prime abord mais on fait l'erreur d'aider absolument des gens qui n'en ont peut-être pas besoin réellement. C'est compliqué déjà de devoir consulter car y'a manque d'effectif ou de temps. Au CLSC, si t'es pas un cas d'urgence (idées suicidaires ou autres), t'es sur une liste d'attente (1 à 2 mois minimum) selon ton cas à savoir si c'est prioritaire ou pas. S'ils n'ont pas le temps de voir tous leurs clients réguliers dans un délai raisonnable, tu peux supposer qu'ils n'auraient pas le temps de s'occuper des cas de "crise collective". La prochaine fois qu'on verra une catastrophe aux nouvelles et qu'on verra la gang du CLSC du coin intervenir auprès de la population, posez-vous cette question: quel sont les besoins réels des gens impliqués? En ont-ils vraiment besoin? Si oui, qui en a besoin?

L'efficacité d'une intervention dépend de bien des choses: bien cibler le problème, cibler les gens qui en ont besoin, choisir les bonnes interventions, en dehors du programme d'intervention les gens touchés ont-ils du support (à la maison, au travail, à l'école). Ça fait beaucoup de conditions comme tu peux voir et faut voir ça comme du cas par cas: une intervention peut être efficace pour un mais pas pour l'autre à côté. Je serais curieux de savoir si les gens responsables de ce genre de programmes font de solides évaluations pour vérifier leur efficacité et corriger le tir s'il y a lieu.

N. B. Je tenais à rééditer mon texte ci-dessus pcq j'avais chirer un peu. Mille excuses.