Qu'arrive-t-il à André Arthur?

J'ai écouté l'audio d'aujourd'hui sur les écoles et il commence très bien mais finit très, très mal.

Le vouvoiement dans les écoles? LÀ EST SON ANALYSE?

L'école, c'est facile?

Premièrement, quelqu'un devrait inviter André Arthur à venir lire mes différentes mentions des écoles secondaires. Deuxièmement, on devrait se demander si André n'est pas entrain de devenir sénile. Manquer complètement sa shot avec un sujet aussi sérieux que celui-ci, c'est profond et ça démontre que quelquechose ne marche plus du tout avec André. Il y a des boulons qui manquent.

Je lis les commentaires sur le blogue et ils sont autant "déboulonnés".

Je vais expliquer quelquechose à ces vieux débris sales dont j'inclus André Arthur: Ce n'est pas aux jeunes à qui il faut enseigner le respect de quelquechose, mais aux vieux à enseigner le respect des jeunes en ne les envoyant pas dans des prisons pour enfants où ils seront détruits.

Et je ne parle pas sans savoir.

RedHat a écrit:

Je lis les commentaires sur le blogue et ils sont autant "déboulonnés".

À moins que les réactions aient été effacées, il y en a très peu et rien dans le domaine du "déboulonnement".

Que pensez-vous de l'audio en général, CF?

AA est plus émotif dans cet audio-ci. Je reconnais le diagnostic du travail chez les jeunes. Par contre, je ne blâmerais pas l'école en premier lieu mais plutôt les parents. L'attitude de AA dans cet audio est typique de ce quoi on est habitué de lui. Il trouve une nouvelle raison de blâmer les profs maternantes syndiquées. La même fixation de blâmer tout ce qui est gauchiste ou en a l'apparence. L'école étant un reflet de la société, elle a ses torts mais elle n'en est pas pour le moins la première cause.

En quoi les parents sont premiers responsables et pas la prison pour enfant qu'est l'école?

Ah ben ça explique tout, il n'a pas vouvoyé son professeur!

Dernier post de ma part sur Radio et compagnie.

Et quels sont vos opinions sur l'audio? Je crois que c'est vous qui avez peur d'être exposés pour ce que vous êtes.

Jean Langlois, celui qui disait qu'il n'y avait aucune raison de prendre Cho littéralement quand il parlait de crachats au visage.

Langlois, tu n'es plus le bienvenu ici.

Jean, n'oublie pas d'amener ton chien avec toi.